Une journée un peu perdue dans le séjour.
Après un petit déjeuner à volonté dans le restaurant, nous attendons quelques temps la récupération du bagage manquant. Heureusement il arrive, mais suffisamment tard pour nous faire profiter des bouchons népalais dans toute leur splendeur !
Le départ de l’hôtel se fait avec une ou deux heures de retard sur l’horaire initial, mais cela valait le coup de récupérer les affaires. Départ en bus tout confort … enfin bus touriste quoi !
Nous mettons un peu plus de deux heures à sortir de l’agglomération. Combinaison d’une ville immense et du fait que nous roulions à 5km/h maximum.
Le bus arrive ensuite tout à fait naturellement sur Tribhuvan highway. L’autoroute du coin, que l’on assimilerait tout aussi bien à une petite route de montagne chez nous. Mais il y a du goudron ! Presque partout.
Vers 14h, pause dans une station autoroutière … enfin, pour le Népal évidemment. Une petite cabane au bord de la route, un bout de terrain vague pour le parking, parfait pour déjeuner.
Nous arrivons assez tardivement à Besisahar pour faire l’échange pour deux gros 4×4. C’est reparti pour 5h de piste environ.
5 heures interminables. 5h de folie. 5h dans le noir. Car oui la nuit est tombée. Heureusement, la musique accompagne les sauts et a-coups du terrain et rend la situation un peu plus amusante. Il faut avouer que le métal passe bien sur ce type de terrain.
Une fois arrivé on nous raconte que nous avons roulé le long de précipices d’environ 1000m de vide. Dommage qu’il n’ait pas fait jour pour en profiter !
Il faut avouer que le métal passe bien sur ce type de terrain.
Nous arrivons à notre premier lodge, à Dharapani. Le confort est rudimentaire mais nous étions prévenus ! Les toilettes sont externes, tout comme les douches qui sont payantes (et puis on va pas se doucher alors qu’on n’a pas encore marché !). Les chambres sont regroupées ensemble, et la séparation de jolies planches de bois mal jointées.
Le repas se prend dans la salle commune, et fatigués d’une journée de transfert et de la fin du jet lag, personne ne fait long feu.